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fondation 2012 petite

Les victimes écrivent

La Fondation Européenne des Personnes Handicapées

Reçoit de nombreuses lettres des internautes qui nous informent de leurs situations de victimes, et nous demander de leur donner conseils et de les aider dans leurs démarches pour faire que la justice se fasse pour eux et elles aussi.

Bien sûr, nous apportons un maximum de soutiens à ceux et celles qui à jour de leurs cotisations aux services demandés, en font la demande.

Par contre jamais nous ne divulguons leurs situations ni leurs documents ni en ligne sur web, ni sur autres supports ni autres moyens de communication.

Notre règle d'OR est le secret des affaires que vous nous confié et la confidentialité totale.

 

Seules les affaires dont les victimes nous demandent de les divulguer sur ce site,

 le seront, mais en gardant leur anonymat et le pays

C'est le cas de celle qui vous est présentée ci dessous:

C'est la victime qui nous a écrit:

 

  .

 

Affaire détournement de mes héritages.

 

 

Document destiné à Maître ....................avocat.

 

Plainte en instruction devant plusieurs juge européens.

 

 

Evolution des évènements depuis les décès de mes grands parents du coté de ma mère.

 

 

1° Mes grands parents maternels étaient d'assez riches propriétaires terriens

Mon Grand père : Mr ………………………………………. en 1946.

Ma Grand mère, son épouse, …………………. est décédée en 1971,

Lors du décès de ma grand mère, j’effectuais à l’époque mon service militaire.

 

Après le décès de ma grand mère, Maître …………… qui était le notaire de mes grand parents, ne m’a adressé aucune convocation, ni information, rien, je n’avais même pas été informé que ma grand mère de son vivant, avait fait testament qui disait qu’elle donne après sa mort, la nu propriété de toutes sa succession et biens à ses petits enfants. ( Sauf la quote-part légale qui revient à ma mère, sa fille unique).

 

2° Cette succession chez un notaire de ……, ne se clôturera jamais, par ce premier Notaire.

Ce n’est qu’une dizaine années après le décès de ma grand mère, que je reçois une convocation, chez un notaire …………………………, dont j’ai oublié le nom.

J’y vais, je rencontre ce notaire, qui m’explique qu’il a repris cette étude notariale, suite à la retraite du précédent notaire, et qu’il y retrouve cette succession non clôturée. Il me dit que la clôture de cette succession est bloquée parce que ma mère (la seule héritière légale directe) refuse de signer cette succession, ni de l’accepter, ni de la refuser. D’autre part,  ma sœur ne répond pas à ses courriers et convocations, ce qui fait qu’il ne peut pas clôturer cette succession.

C’est à ce rendez vous que j’apprends l’existence du testament que ma grand mère avait fait et que je prends connaissance de son contenu et des volontés testamentaires de ma grand mère.

Je lui ai répondu que j’acceptais de signer et de recevoir ma part sur cette succession.  

 

Le temps à passé,  ma sœur m’avait fait comprendre clairement qu’il ne fallait pas parler de la succession, et dans la famille personne en parlait. C’était bien compris que ma mère ne signerait rien car elle n’avait pas accepté d’être déshéritée par sa mère.

J’avais toujours cru comprendre que ma grand mère avait remarqué que sa fille unique (ma mère) n’avait pas toutes ses facultés pour gérer ce patrimoine et qu’elle en était mentalement incapable. C’est à mon avis la raison qui l’avait conduit à faire ce testament.

La fille de ma grand mère, c’est à dire ma mère, était une personne, qui malgré qu’elle avait fait des études supérieures, très psychologiquement perturbée, dont il est évident qu’elle n’avait pas toutes ses facultés mentales pour gérer un patrimoine. 

 

3° Cette succession non clôturée, ça ne dérangeait pas les administrations.

Mes grands parents étaient propriétaires agriculteurs sur la ferme de ……………, c’est mon père le mari de ma mère qui étant agriculteur a repris l’exploitation de mes grands parents quelques temps avant le décès de mon grand père en 1946.

Donc tous les courriers administratifs arrivaient adressés soit au nom de mon grand père décédé, soit au nom de ma grand mère décédée, dans cette boîte aux lettres commune et familiale..

Les impôts fonciers ont toujours continués d’être payés par mon père de son vivant.

Les responsables du cadastre savaient qu’un propriétaire né en 1861, ne pouvait plus être vivant en 1970, en 1980, en 1990.

Mais ils restaient sans aucune réaction quand moi même devenu agriculteur sur cette même ferme à la place de mon père, je déclarais que j’étais locataire de terrains et bâtiments dont le propriétaire est au cimetière, signe encore. (En fait, c’est mon père qui signait et ça passait partout sans aucune contestation administrative).

 

4° C’est sournoisement que en 1988 ça commence à bouger.

Par des menaces sur ma fille ………………

C’était vers la fin mars 1988, ma plus jeune fille « …………. » née en 1974, vient me parler en tête à tête : pour me parler de faits qu’elle venait de vivre quelques jours auparavant à la maison ……………………………………à 500 mètres de la ferme :

Elle me déclara : « Hier après être rentrée de l’école, j’ étais dans ma chambre en train de faire mes devoirs ( sa chambre était à l’étage), j’ étais seule à la maison » j’ai été attaqué, voilà les faits me dit t’elle : « Tout à coup, une voiture est entrée très brusquement dans la cour de la maison et s’arrêta juste devant la porte, une personne en descendit et frappât violemment à la porte ».

Ma fille …………… sort alors de sa chambre et commence à descendre les marches de l’escalier, pour ouvrir à cette personne. Elle pensait que c’était un familier de la famille. Mais à mi escalier, elle est surprise de voir en bas de l’escalier, une personne dont le visage est camouflé par des foulards, qui est déjà entrée dans la maison,

Cette personne agrippe ma fille, qui a eu très peur. Ma fille qui avait plus de 13 ans et demi et l’avantage d’être grandie par plusieurs marches d’escaliers se défendit violemment.

Mais visiblement le combat aurait été défavorable à ma fille, si il n’y avait pas eu un événement imprévu qui a fait peur à cette personne qui agrippait ma fille.

Une voiture passa sur le chemin, derrière la maison, à cet instant précis et le chauffeur de cette automobile a du être obligé de ralentir pour peut être éviter un animal ou un piéton (c’est un petit chemin peu large où 2 véhicules ne peuvent se croiser.

A ce moment l’auteur de l’agression sur ma fille, fut pris de panique, il crut que cette automobiliste se rendait lui aussi à la maison et qu’il allait être surpris en plein acte de son agression. Il lâchât ma fille de suite et il sorti et montât dans sa  voiture qui démarra en trombe.

D’après les dires de ma fille Sandrine, cette personne qui parlait peu pour ne pas être reconnue par ma fille, voulait l’enlever.

C’est évident aussi, que cette personne était très informée des allers et venus dans cette maison :

Elle savait que moi même était au travail, que sa mère était absente, et qu’à cette heure précise les frères de ……….. étaient soient en pension scolaire soit en stage à l’extérieur et qu’elle y trouverait ma fille Sandrine seule.

 

A l’époque j’étais très occupé par mon travail, une invention, dont je me préparais à tenir un stand sur un salon des inventeurs à …………………………………, qui se tenait pendant 3 jours du vendredi …….. au dimanche inclus en 1988.

 

Donc, j’ai eu un manque de temps pour réfléchir à ce que m’avait dit avoir subi ma fille ............. 

Je vais donc, tenir mon stand ces 3 jours pour présenter mon invention à ce salon.

Les 2 premiers jours, j’y vais avec ma fille, qui était heureuse de venir avec moi, les  frères n’étant pas disponibles y sont absents ces 2 premiers jours.

Le premier jour, rien à signaler, ma fille a plaisir à m’accompagner et demande à y revenir le lendemain.

Le second jour, vers midi, au moment de manger quelques sandwichs quand les visiteurs sont moins nombreux, ma fille me dit :

« Papa j’ai peur, je ne veux plus que tu me laisses seule sur le stand ».

Mais pourquoi lui dis je ?

« Parce qu’il y a des personnes qui aujourd’hui viennent me dire des choses très méchantes et désagréables, des mots qui sont des menaces qui me font peur ».

 

J’étais très surpris : « Ah bon » lui dis je.  Et je lui précise : « tu vas rester à coté de moi, ne t’inquiètes pas ! »

 

En fait je ne comprenais pas, l’importance de ce qu’elle me disait et surtout j’étais accaparé par la réussite et l’approbation de mon invention par les visiteurs de mon stand qui étaient très nombreux.

 

Puis après le repas pris sur le stand avec des sandwichs, je vais avec ma fille faire un tour des stands de ce salon, pour montrer à ma fille les inventions des autres inventeurs. Et puis à une certaine allée, elle me retient par le bras et me dit : « papa, ils sont là devant nous »

Qui lui dis je, je ne vois pas de personnes dangereuses ?

« Les 2 personnes qui m’ont agressé » m’a t’ elle répondu.

Mais lesquels dis moi ?

«  ce sont les 2 messieurs qui tiennent le stand en face nous » dit Sandrine.

Comment ! je vois 2 hommes très bien habillés en costumes cravates de 35 à 45 ans qui étaient derrière le stand du Crédit Agricole et qui semblaient tenir le stand du Crédit Agricole.

Alors je demande à ma fille : «  Ce sont ces 2  hommes qui sont venus te menacer, t’agresser par des mots violents, mais ce n’est pas possible, je vois des hommes qui ont un métier qui les rend sérieux et honnêtes.. je pense que tu as mal compris ce qu’ils t’ont dit » lui dis je !.

Car pour moi, dans mon esprit à ce moment là, dans l’explication de ma fille sur ses agresseurs à ce stand, je pensais à 2 personnes aux visages d’escrocs ou de criminels comme ceux vus à la télévision, je ne voyais pas du tout 2 personnes bien habillées être capables de menacer ma fille.                

 

Alors ma fille me dit : «tu ne me crois pas, pourtant je te jure que ce sont ces 2 messieurs qui m’ont menacé ce matin sur notre stand quand tu t’éloignes du stand »

Ensuite, elle ne dit plus rien, n’en parle plus.

 

Le lendemain le dimanche …….., c’est le dernier jour du salon, je retourne tenir mon stand sur ce salon, ma fille Sandrine refuse d’y revenir et ce sont ses frères  qui viennent avec moi sur ce stand.

Je les ai laissé plusieurs fois seuls sur mon stand et volontairement longuement pour voir si eux aussi seraient victimes des mêmes menaces dont ma fille m’avait dit être victime la veille, j’ai même visité les autres stands avec chacun d’eux pour en laisser qu’un seul à tenir mon stand.

 

A la fin de la journée, je leur ai posé la question : « est ce que quand l’un de vous 2,  était seul sur le stand, a t’il reçu des menaces, a t’il été agressé  par des mots ? »

Tous les 2 m’ont répondu : NON papa, tout c’est bien passé !   

 

 

5° Le lendemain de ce salon d’inventeur, c’est l’assassinat de ma fille ………...

C’était en 1988,  que l’acte criminel définitif a eu lieu.

Il avait été bien préparé et organisé pour que leurs auteurs ne soient  pas vus pendant l’acte.

 

Ils étaient très bien informés des allers et venus des membres de notre famille et connaissaient très bien les moments où ma fille Sandrine était seule à la maison, et les moments où les voisins les plus proches étaient absents de chez eux pour ne pas être vus.

Ils savaient que les voisins dont le mari travaille dans une entreprise de terrassement sont tous les 2 au travail et ne reviennent à leur domicile qu’à la fin de la journée (19h).

Ils savaient que les autres voisins Mr et Mme ……… dont la cour est commune à la notre sont partis plusieurs jours (plusieurs semaines) en vacance en Espagne avec une autre de mes filles, ………….. qui les avaient accompagné lors de ce voyage vacance en Espagne.

C’était un jour de vacance scolaire, le repas de midi pris en famille se termine et tout les membres de la famille, partent chacun de leur coté.

-         L’un aux élevages de volailles.

-         L’autre était en pension au lycée agricole

-         Leur mère, était allé comme souvent faire une visite de mes parents pour converser.

-         Moi, j’étais allé à la ferme pour mon travail. J’étais au bureau de la ferme, pour préparer les dossiers de lancement de mon invention : …………………….

 

Ma fille de 13 ans était restée seule à la maison.

C’est sa mère qui la première a trouvé ma fille pendue avec une corde à une branche de l’arbre qui était dans la cour de la maison.

 

Elle m’a téléphoné au bureau de la ferme où j’étais pour m’annoncer cette mauvaise nouvelle : « elle s’est pendue ».

J’y pars vite en voiture..

Je vois, mon ex femme, devant la porte de la maison, elle ne bougeait pas et attendait paisiblement que j’arrive.

Elle me fait un signe pour me donner la direction, où je trouverai ma fille, j’y cours, je lui demande en criant : « As tu appelé les secours, un médecin, les pompiers, ».

Elle ne répondait pas. Je lui crie : « Donnes moi un couteau que je coupe cette corde »

Elle refuse d’aller me chercher un couteau pour couper la corde.

Alors je lui crie plus fort encore : «  alors si tu ne fais rien, téléphones vite aux urgences, fait le numéro d’ URGENCE ».

Pendant ce temps, je tentais de soulever le corps inerte et souple et de défaire la corde.

Je continuais à crier si fort, qu’elle se décida enfin à téléphoner aux URGENCES.

 

J’ai enfin réussi à défaire les nœuds de la corde, et j’ai étendu le corps inerte de ma fille sur le sol, (c’était une pelouse naturelle).

J’ai essayé, en vain de la réanimer, en tentant de lui faire reprendre sa respiration. J’avais l’expérience d’avoir été confronté à réaliser cette réanimation sur les veaux à la naissance, par pression sur les poumons et j’ai tenté le bouche à bouche. Je croyais y arriver.

Mais le temps passait et du fait que mon ex-femme a laissé passé le temps, beaucoup de temps, avant d’accepter de téléphoner aux URGENCES, (comme si elle n’avait pas envie de sauver sa fille, je me suis posé la question), quand les URGENTISTES sont arrivés, c’était trop tard.

Ils ont longuement tenté de la réanimer, et ils ont tout essayé, je tournais auteur d’eux et surtout de ma fille ................., pour lui demander de revenir à la vie, puis le temps passant, je comprenais que c’était fini.

Puis un des URGENTISTES se tourna vers moi et me dit, « il n’y a rien à faire nous ne pouvons pas la sauver, avez vous appelé votre médecin ? »

 

Alors je demande à mon ex-femme qui était restée à la maison : « As tu demandé au médecin de venir ? » 

« Il faut que vous l’appeliez », lui dit l’ URGENTISTE .

 

Ensuite, le médecin est arrivé pour constater le décès.

 

 

Ensuite dans la soirée arriva, les gendarmes, pour dire qu’ils comprenaient notre douleur, et que dans l’immédiat, puis ils ont demandé « est ce qu’elle a laissé un mot, quelque part ? »

Mon ex femme répond, je vais voir, elle monte dans la chambre de ma fille, et revient avec un papier manuscrit. J’avais remarqué que ce papier avait été déchiré craqué d’un carnet.

Les Gendarmes l’ont pris, en disant qu’ils allaient pour leur enquête faire faire une étude graphologique pour voir si c’est bien l’écriture de ma fille. Ne vous inquiétez pas on vous restituera ce manuscrit après.

Ensuite, ils m’ont dit qu’ils n’avaient pas l’intention de nous déranger plus longtemps aujourd’hui, nous comprenons votre douleur, toute votre famille va se rassembler et nous vous laissons pour aujourd’hui à vos préoccupations mortuaires.  

 

Ensuite, tout se bouscule,

Mais je reconstruis dans ma tête les épisodes de cet événement :

-         J’avais trouvé ma fille suspendue par une corde à une branche de l’arbre (un noyer), j’avais constaté qu’il n’y avait rien à proximité où ma fille serait montée pour se pendre.                                                                                     Un tas de bois qui était stocké était trop loin, c’était impossible qu’elle ait monté sur ce tas de bois, en se laissant tomber d’ici, il lui fallait une corde plus longue et elle aurait eu les pieds et jambes à terre. Ce n’était pas le cas.

-         De plus quand j’ai détaché la corde, j’ai constaté aux nœuds que la corde avait obligatoirement été nouée d’abord au cou de ma fille et qu’ensuite la corde avait été lancée de terre à la branche de l’arbre du sol, puis que quelqu’un avait tiré sur l’autre bout de cette corde pour lever le corps de ma fille déjà inerte. Ensuite cette tierce personne avait attaché l’autre bout de cette corde,  au précédent nœuds qui nouait la corde au cou de ma fille.

-         De plus, les URGENTISTES m’avaient fait remarquer qu’ils n’y avait plus rien à faire pour sauver ma fille en me montrant des traces de strangulation rouge sur le cou de Sandrine. Ces traces étaient très droites et horizontales sur l’avant du cou de ma fille. Ces traces ne correspondaient pas du tout à l’endroit où j’ai défait la corde quand j’avais défait les nœuds pour libérer ma fille.

-         Et puis, j’avais remarqué au sol, à quelque mètres de l’endroit où j’avais trouvé ma fille pendue, un endroit où, la pelouse avait été grattée très fortement, il y avait des traces de terres arrachées par violences.

 

Il était donc, évident qu’une lutte avait eu lieu entre un agresseur et ma fille qui se serait débattue ici, que cet agresseur avait une corde et avait strangulé ma fille en la surprenant par derrière, et en lui serrant le cou avec une corde sous le menton. Cela devait se passer à l’endroit où la pelouse avait été arrachée par le fait que ma fille s’était débattue fortement.

Puis l’individu a suspendu son corps inerte  à cette branche d’arbre pour camoufler son crime en suicide.

 

 

Et puis, ensuite je me posais la question suivante : ce papier manuscrit qui avait été déchiré d’un carnet, « où est ce carnet ? »

Je posais la question à mon ex femme : « as tu vu ce carnet ? »

Elle me répondait « non, je ne sais pas où, il est »

 

Et puis, plus tard je crois me souvenir que c’était le lendemain matin, tout à coup, je vois un carnet fermé, qui est posé sur un vieux potager en pierre installé à coté de la fenêtre du salon cuisine (une grande pièce de vie qui est au rez-de-chaussée),   

 

J’ouvre ce carnet, et je constate qu’il lui manque une douzaine de feuilles qui avaient été craquées pour les arracher. C’étaient des feuilles identiques à celle du manuscrit trouvé à l’étage supérieur sur la table de nuit de ma fille,  qui avait été trouvé par mon ex-femme et remise aux gendarmes.

Il était évident que plusieurs tentatives d’écritures avaient été réalisées par l’auteur de ce manuscrit avant d’en laisser un seul exemplaire sur la table de nuit.

Si c’était ma fille, qui avait arraché ces feuilles, après en avoir écrites plusieurs, les autres feuilles auraient été trouvables, puisque ma fille n’avait pas quitté la maison du samedi soir, où je suis rentré du salon des inventions avec elle, jusqu’à son décès.

Donc, si c’était elle qui avait craqué ces feuilles, les feuilles manquantes n’auraient pas pu disparaître, elles auraient été trouvées dans la maison.

 

J’avais cherché partout en vain ces feuilles disparues.

Il est évident que ce n’est pas ma fille qui avait écrit ce manuscrit, mais l’auteur de son assassinat, qui après son crime, pour mieux le camoufler en suicide,  est allé récupérer ce carnet, y a écrit des dernières volontés de ma fille en tentant d’imiter sa signature, pour mieux camoufler son crime en suicide. Et c’est lui qui en disparaissant des lieux de son crime, a emporter ces feuilles manquantes, dont il avait raté l’imitation de l’écriture de Sandrine.

        

 

Le lendemain du crime, les 2 gendarmes repassent, le plus âgé m’informe qu’il a ouvert une enquête et qu’il ne croit pas au suicide.

 

Moi, de mon coté, j’étais très occupé à la préparation des obsèques, et je devais assumer les travaux urgents de la ferme, j’avais même eu un appel important d’une société qui s’intéressait à mon invention.

Et j’avais eu les conseils de mon père, qui m’avait conseillé de ne pas me disperser et de fournir toutes mes forces pour ceux qui restent, mes autres fils, ses petits enfants.

Donc, j’étais dans l’action.

 

Le surlendemain c’est à dire le mercredi suivant, les 2 gendarmes sont repassés, le plus âgé est venu me dire que : Malgré son constat qu’il s’agit d’un crime camouflé par son auteur en suicide, le Procureur du tribunal le plus proche, lui a imposé de classer cette affaire en suicide, et très clairement il m’a dit que le procureur lui retirait cette affaire et lui interdisait de continuer à enquêter même à titre privé pendant ses temps  libres.

 

Ensuite, il y eut les obsèques de ma fille, et la encore il y a un évènement qui m’a surpris : dès que le cercueil a été descendu au fond de la fosse, un individu a jeté une fleur sur le cercueil, j’ai posé la question aux présents, avez vous vu la personne qui a jeté cette fleur, la connaissez vous ? Personne  ne l’a vu faire ni connu ! Sauf que cette personne aurait fait très vite à un moment d’inattention et s’est enfuit aussi vite. Qui était cet individu, j’ai toujours pensé que c’était l’auteur du crime.

 

Et puis, il y a un individu qui est passé à la ferme les 2 jours avant le salon des inventeurs, c’était un jeune homme d’une région voisine, qui était venu soi disant pour demander un contrat d’apprentissage agricole à la ferme. Il paraissait très motivé et je lui avais dit oui.. II s’était même proposé de venir au salon des inventeurs avec moi pour présenter mon invention tant il était motivé.

Donc, c’était prévu qu’il vienne avec moi au salon des inventions

Le lendemain matin le jour du départ, au petit déjeuné, il apprends que ma fille vient avec nous au salon.  Alors, il devint très inquiet, et déclara qu’il ne pouvait plus venir au salon avec moi. Et il me demanda  si j’aurai la gentillesse de le ramener chez lui en partant au salon, c’est sur la route du salon précisait t’ il. J’avais accepté, en fait j’avais faire un grand détour, il habitait dans une région éloignée

Son comportement avait été bizarre, je n’ai plus eu aucune nouvelle de lui ensuite. Mais j’ai pensé qu’il avait été envoyé et missionné pour organiser ce crime, par d’autres, et quand il a su qu’il devrait passer les 3 jours avant son acte en présence de sa victime, cela l’a fait changer son programme.

Pourquoi, le procureur a stoppé l’enquête du gendarme ? Ainsi aucune enquête a été faite sur l’emploi du temps de cet individu troublant le jour de l’assassinat de ma fille.

 

Ensuite, dans les semaines qui ont suivi, j’ai parlé à plusieurs personnes de mon entourage, toutes m’ont dit, « Oh non, laisse tomber, peu importe, un crime un suicide, elle est partie tu dois continuer à vivre pour tes autres enfants et te concentrer sur ton invention.

 

Et je devais travailler, et les travaux des semis des cultures s’imposaient et m’ont accaparé mon temps.

 

6° Il y eu quelques mois plus tard un autre évènement :  les RUBANS VERTS du Crédit Agricole. Un comportement anormal des responsables de ma Caisse locale du Crédit Agricole.

 

J’avais à cette même époque postulé pour un concours bi-annuel organisé par la Banque le Crédit Agricole. Un concours qui récompense les inventeurs en agriculture 

qui ont créé une innovation qui peut être utile en agriculture. Ce concours se nomme « Les RUBANS VERTS ».

Et fin d’année 1988, j’apprends que j’ai reçu le 1ier prix départemental des RUBANS VERTS 1988, et je suis invité à la remise des prix, qui eut lieu au siège du Crédit Agricole.

Quand je suis arrivé à cette remise des prix de ce concours, j’ai d’abord été surpris de voir que tous les lauréats présents étaient venus accompagnés du directeur et du président représentant leur caisse locale de crédit agricole.

Moi j’étais seul, comme un oublié, qu’on ne fréquente pas.

Puis quand je me suis présenté à l’accueil, on m’a demandé : «  mais où sont vos responsables de votre Caisse Locale du Crédit Agricole ? c’est eux qui devaient vous accompagner et vous présenter, ils ont été invités »

Moi surpris, je réponds : «Ils ne m’ont pas contacté, ils m’ont rien dit, je ne sais pas »    

  

En fait tous les responsables de la banque Verte qui étaient présents à cette cérémonie, étaient très étonnés qu’ils soient absents.

 

Que cachait cette absence ? j’ai compris plus tard que certains responsables de ma Caisse locale du Crédit Agricole, craignaient de se retrouver en face de moi !

 

 

  Puis le temps à passé, mon couple s’est défait 

et la maison où habitait notre famille est mise en vente.

Vu les problèmes de notre couple, nous quittons cette maison, où notre fille a été assassinée, c’était en juin 1992.

Moi je vais vivre à la Ferme une des propriétés de mes grands parents décédés, et ma femme part habiter avec 2 enfants dans une autre grande propriété de mes grands parents décédés.

 

Je consulte un avocat, et je lui demande de faire le nécessaire au tribunal, je veux divorcer. C’était en 1992 et il a saisi le juge des affaires familiales du tribunal, où nous avons été convoqués en audience de conciliation en 1992.

Ce passage devant le juge, fut rapide , le juge demanda à chacun, si nous souhaitions une réconciliation, et il conclut aussitôt, c’est évident que c’est non, puisque une fille plus jeune étant décédée, le plus jeune de mes autres enfants avait déjà à l’époque presque 17 ans.

Alors le juge demanda à mon ex-femme :

Voulez vous demander une pension à votre mari ?

Elle lui répondit sans hésiter « NON » et elle ajouta, « il n’a plus rien, je ne peux pas plumer une personne que j’ai ruiné, je lui ai tout pris ! ».

Le débat devant le juge fut clos ainsi, pour renvoyer à une future audience du divorce.

Ce divorce en 2011 n’est pas encore clôturé, parce qu’à plusieurs reprise elle bloque la réalisation de ce divorce en faisant faire des fausses déclarations à ses sœurs et amies qui habitent à plus de 400 kilomètres, aux fins d’obtenir un divorce pour faute de ma part. Car dans sa tête, elle pense que si c’est elle obtient un divorce pour faute, c’est elle qui va hériter des successions de mes grands parents et parents.

J’avais compris, que cette femme ne s’était pas mariée avec moi, par amour, mais uniquement parce que ses parents lui avait dit : «  c’est un bon parti, vas y, c’est une famille très riche avec beaucoup de biens immobiliers, c’est une bonne affaire pour toi ! »

 

J’ai quelques mois plus tard constaté en effet qu’elle avait vidé mes comptes bancaires pour transférer l’ argent sur son compte personnel.

Elle a même interroger des connaissances, qui m’avaient informé que mon ex femme leurs disaient qu’elle cherchait des solutions pour placer et cacher ses capitaux dont elle ne voulait que les juges apprennent qu’elle possédait autant d’argent sur ses comptes bancaires personnels. 

 

8° Puis c’était encore en 1992, Je découvre un vol par effraction

J’avais un bureau dans un local situé à quelques kilomètres de la ferme, qui appartenait à une société ».

Un jour je découvre qu’il a été visité, beaucoup de documents administratifs et autres avaient disparus, de nombreuses cartes grises de véhicules agricoles avaient disparues, l’ordinateur de bureau avait également disparu, et beaucoup de papiers étaient dispersés.

A première abord, je ne voyais aucune trace de violation des fenêtres et de la portes qui étaient sérieusement fermées à clef.

Mais en levant la tête j’ai constaté que le ou les auteurs de ce cambriolage sont passés par la toiture et qu’ils avaient bien réparé leur casse pour le camoufler.

 

J’avais déposé une plainte, plus une constitution en partie civile que j’avais adressé par LRAR au tribunal le plus proche.

Il y eu, une enquête de gendarmerie, ils sont venu constater les faits et surtout me dire, qu’il ne bougeront pas, car je suis période de divorce et me disent t’ ils : « ce n’est pas la peine qu’on cherche le ou les auteurs, c’est votre femme qui a commis ce vol et il n’y a pas de vol entre mari et femme, nous ne ferons pas d’enquête, nous n’interrogerons même pas votre femme pour vérifier si c’est elle qui a commis ce vol. »

 

J’étais ébahi de cette conclusion hâtive des gendarmes, j’avais vérifié comment les auteurs ont pu monter sur la toiture de ce bureau et c’était bien évident que ce ne pouvait pas être mon ex femme, car il fallait de la force pour lever certaines pièces de toiture et des outils, et que mon ex femme ne pouvait lever physiquement ces pièces, ni ne savait utiliser les outils indispensables et elle était également incapable de monter sur ce toit.

 

Donc, qui avait volé ?

Ce n’était pas mes enfants non plus, à l’époque j’étais en bon terme avec eux.

Et que cherchait le voleur ?

Aucune enquête judiciaire n’a été faite, malgré ma constitution en partie civile.

 

9° Un second crime se prépare et va jusqu’à la mort lente de la victime, qui est mon père, un crime qui prend fin à son décès en 1993.

 Les auteurs de ce crime, sont bien connus :

C’est ma sœur ……………………………. qui est employée du Crédit Agricole, et habite sur une ville voisine, c’est elle qui l’organise en faisant agir principalement sa mère, qui est aussi ma mère et la femme de la future victime.

 

Voici les faits commis qui se déroulent du début de l’année 1992 jusqu’à sa mort en 1993 :

 Au printemps 1992, c’était entre 5h et 5h et demi du matin.

J’étais déjà au travail dans mon bureau de la Ferme …………….., et j’avais été très surpris quand j’ai vu par la fenêtre, ma mère sortir si tôt de chez elle (elle habitait avec son mari, mon père, dans une maison de la ferme …………..), elle s’était habillé rapidement par un vieux pardessus, elle sorti sur le chemin qui côtoie la ferme, par un petit portillon le long de la grande maison. Elle avait un couteau et un petit sac, et elle se dirigea vers le talus, elle se pencha à plusieurs reprises pour couper des plantes qu’elle jetait vite dans son petit sac.

Puis rentra aussi vite chez elle, et laissa penser qu’elle dormait encore et qu’elle s’était levée bien plus tard quand mon père se levait.

J’étais très intrigué, qu’était elle allé couper comme herbe ? je vais ultérieurement voir ce talus et je vois des pousses de ciguës et les coupes de celles qu’elle venait de récupérer.

 

Je me posais des questions, que voulait t’ elle faire ? empoisonner quelqu’un ? ça me semblait impossible que ma mère soit une empoisonneuse ! Pas ma mère, bien sur que non et je me disais ça doit être pour ses volailles soit un médicament qu’elle leurs prépare ?

Et puis, je me dis : peut être que cette plante n’est pas un poison aussi violent qu’on me l’avait dit quand j’étais encore gamin.

 

En tout cas, plusieurs matins suivants, ma mère à cette heure aussi matinale, j’ai vu ma mère recommencer ce manège et récupérer d’autres pousses de ciguës.

 

J’ai laissé passé un peu de temps, je ne sais plus combien de semaines, peu ; et un jour le médecin de mon père vient le consulter à la ferme, constate que son état de santé est grave. Il le fait hospitaliser en URGENCE, c’était un samedi et il est pris en charge à l’hôpital le plus proche, par un très bon chirurgien, le Docteur …………

J’y vais, je vois le docteur ………..., qui me dit : «  j’ai vu sur les radios de gros problèmes intestinaux, ce sera la mort inévitable sous 24 heures maximum, peut ‘être dans quelques heures. Soit : je l’opère, soit : je le laisse mourir, mais sachez que je ne suis pas certain de le sauver ».

Je lui rétorque : « Bon, je vous fais confiance, je vous demande de l’opérer »:

C’est ce qu’il a fait.

J’ai attendu :

Puis les infirmières sont venues me parler, elles m ‘expliquent que l’opération va demander beaucoup plus de temps que prévu. Le mal est très important, mais elles tentent de me rassurer en ajoutant, votre père a beaucoup de chance d’avoir tomber sur ce chirurgien, il nous a toujours  fait des miracles et c’est une chance que ce soit lui qui était de permanence ce week-end, car votre père était mourant.

 

Puis de nombreuses heures plus tard, le chirurgien est venu me voir, pour me dire :

« Si les analyses m’avaient montré un mal aussi important, je vous avoue que je ne l’aurais pas opéré, j’ai jamais vu un mal comme ça et de cette ampleur.

Je n’ai pas réussi à tout enlever le mal, je ne suis pas comptant de mon travail, je ne sais pas si il va se réveiller et pas non plus si mon opération va le sauver de son mal. »

Puis il ajoute, « J’ai mentionné dans le dossier que c’est un cancer, pour qu’il soit pris en charge dans le cadre de cette maladie, mais je sais que ce n’est pas un cancer, mais je ne sais pas de quelle maladie il s’agit. C’est pour moi une première et je préfère vous dire que vu l’importance du mal, comprenez que les chances de survie de votre père sont très réduites, ne vous faites pas d’illusions».

 

Je suis resté près de lui toute la nuit, les infirmières motivées par ma présence, ont fait le maximum, mais les appareils de contrôle indiquaient peu d’amélioration, son  cœur était très ralenti, à la limite de s’arrêter, mais il tient.

Au matin, le chirurgien revient, le consulte, et vient me parler : « c’est un miracle, je n’aurais pas cru qu’il vivrait encore, il y a un espoir, mais je ne peux pas vous dire s’il va en survivre, le mal était très important et je n’ai pas tout enlevé »

Et en quelques semaines, il est sorti de l’hôpital pour un séjour en maison de repos.

 

Ensuite il rentre chez lui. Je ne savais pas comment faire.  J’étais complètement dépassé  par la violence des évènements que je vivais à l’époque ( déménagement, divorce, vols par effraction, détournement d’argent de mes comptes bancaires, et ces agissements de ma mère) et à ceux la déjà très douloureux, je devais faire face à une autre affaire devant les Prud’hommes, où 2 employées m’avaient mis pour cause que je ne leur fournissais plus de travail (d’après elles).

 

J’étais dépassé, je n’avais plus assez de temps pour tout gérer, et j’ai laissé mon père aux mains de ces 2 assassins sans rien pouvoir faire.

Pourtant, il allait beaucoup mieux, il reprit même la conduite de sa voiture.

 

Mais évidemment, les empoisonnements ont repris  et en fin d’année 1992, je devais  m’absenter pendant quelques jours consécutifs de la ferme. J’avais un déplacement qui était prévu depuis longtemps et ma mère et ma sœur en étaient informées, elles avaient organisé une nouvelle tentative d’empoisonnement finale sur mon père.

 

Ma sœur savait qu’elle avait en prévision avec une date incertaine, un long voyage organisé pendant plusieurs semaines au Brésil, et qu’ainsi elle aurait un alibi sérieux.

Ma mère avait préparé une autre tisane à base d’une autre plante, qu’elle avait préparé pour la boire le jour juste après qu’elle ait de nouveau empoisonné son mari.

Cette tisane avait pour objectif de lui stimuler un arrêt cardiaque temporaire mais limité, et ainsi elle s’était préparé un alibi sérieux.

 

Il faut savoir que ma mère était une professionnelle des préparations à base des plantes, elle avait hérité d’un gros livre sur les plantes et leurs effets sur l’homme.

 

C’était en automne 1992, je reviens de mon déplacement de plusieurs jours, je vois mon fils aîné, il vient me dire que son grand père et sa grand mère, sont tous les 2 partis à l’hôpital depuis peu de temps.

 

Je vais à l’Hôpital, mon père était retourné dans le service du Docteur Roland qui l’avait opéré quelques mois auparavant, je le rencontre, il me dit : « c’est une récidive, je ne peux plus prendre le risque de l’opérer, je crois que cette fois, il n’y a pas d’espoir, mes services vont faire de leur mieux ».

 

Je vais ensuite, voir ma mère qui était dans un autre service, un service de cardiologie, je l’ai vu dans sa chambre, elle se portait très très bien, je vois le cardiologue qui l’a ausculté et il vient me parler, voilà la déclaration qu’il m’avait faite : «  pas d’inquiétude Monsieur, votre mère va très bien, elle n’a pas fait de crise cardiaque, elle a peut être fait une toute petite syncope, mais en arrivant ici à mon service de cardiologie, j’ai ausculté une femme qui se portait très bien.

Mais peu de temps après j’ai reçu la visite de sa fille Mme ……….., qui est venu me voir pour insisté et insister jusqu’à ce que je lui pose d’urgence une pile au cœur, car d’après elle, sa mère avait de graves problèmes cardiaques. 

Ce cardiologue m’a précisé qu’il ne voulait pas, mais que Mme …….. avait tellement persévéré et insisté pour qu’il pose cette assistance cardiaque au cœur de sa mère, qu’il a fini par accepter et de lui faire cette opération inutile »  Et puis, il ajoute « mais ne vous inquiétez pas, cette opération sera sans conséquence pour votre mère ».

 

Quelques jours ont passé, ma mère est rapidement sotie de l’hôpital, et elle a été mise en maison de convalescence à la demande de sa fille Mme ………

 

Par contre mon père, était très mal, le Docteur chirurgien …………. m’a dit qu’il était condamné, qu’il n’y avait plus rien à faire. Seulement à lui donner des soins pour sa fin de vie.

Quelques jours plus tard, il est envoyé dans une annexe de l’hôpital où on met les personnes en fin de vie.

 

Je savais que mon père avait été empoisonné, il ne mangeait plus seul et je savais qu’il devait s’alimenter pour éliminer son empoisonnement. J’y allais 2 fois par jour, pour le faire manger comme un bébé avec une petite cuillère, il commençait a montrer quelques améliorations.

Pendant ce temps, ma sœur, Mme ……., qui était en préparation et en partance de son long voyage au Brésil, ne venait jamais visiter son père à l’hôpital, alors qu’elle visitait sa mère chaque jour.

Pourtant un midi, en arrivant à la chambre d’hôpital de mon père pour le faire manger, en ouvrant la porte je suis surpris de la scène que je vois dans cette chambre : 

Mon père était dans son fauteuil, complètement inconscient, la tête tombée ; ma sœur était assise à proximité, un peu derrière lui, et regardait mon père.

Sur la tablette de mon père, il y avait un verre qui ne contenait pas de l’eau comme d’habitude, mais un liquide visqueux et blanchâtre, ce ne pouvait pas être un médicament (je connaissais les médicaments prescrits par les médecins et je me suis renseigné il n’avait eu de nouvelle prescription médicale).

C’était un poison que ma sœur était venu lui faire boire, ici à l’hôpital.

J’ai pris le verre, je lui ai demandé c’est quoi ce verre ? elle ne répondit pas, je lui dit ce n’est son médicament habituel, et de colère, je suis allé jeté le contenu de ce verre dans le lavabo et je l’ai lavé. Je me souviens que ce liquide était visqueux et collant aux parois du verre, j’avais eu des difficultés à le rincer à l’eau.

 

Puis Mme ……… s’en est allé en disant au revoir brièvement.

Le jour précédent mon père allait mieux, il m’avait parlé et de nouveau il venait de perdre connaissance à cause de cette dame, ma sœur.

 

Je me suis dit, je dois sauver mon père, c’est peu t’être trop tard mais je dois le sortir d’ici, car ma sœur va revenir l’empoisonner. Je ne pouvais pas être présent 24h sur 24 aux cotés de mon père.

 

Alors, je demande aux infirmières, si je peux prendre mon père chez moi, elles me disent : «  comment voulez vous, il est donné mourant dans peu de temps (quelques jours maxi), mais si le vous voulez, il faut demander au docteur du service son accord.

J’attends que le docteur de service passe faire ses consultations en chambres des malades, et je lui pose cette même question.  Il me répond, si vous le demandé avec une forte volonté, je vous donne mon accord, par contre prenez un rendez vous avec l’assistante sociale de l’hôpital pour que soit organisé ce transfert avec des soins médicaux chez vous.

 

Par contre moi, seul, c’était impossible de prendre mon père, j’en ai parlé à mes fils, et nous avons trouvé la seule solution possible, qui a été de rassembler tout le monde où avait élu domicile mon ex femme, c’est à dire dans la grande maison de la seconde ferme.

Mon père y arriva très vite, et ainsi, j’étais certain que ni ma sœur, ni ma mère sa femme qui elle était rentrée dans sa maison à la première ferme (puisque sa santé était très bonne).

Les médecins disaient tous, que vu l’ état où il est,  mon père ne vivrait pas plus de 4 à 5 jours grand maximum.

Tous nous avons été aux grands soins pour lui, il avait quelques moments de lucidités où il commençait à re-parler.

Ni sa femme, ni sa fille Mme …….., ne sont venus le voir, ni ils n’ont pris de ses nouvelles.

Elles en prenaient auprès de tiers, pour savoir dans combien de temps, il sera mort.

Puis Mme ……… est parti au Brésil avec son mari, c’était un voyage organisé par des personnes qui travaillent au Crédit Agricole.

 

J’apprenais par mes enfants que du Brésil, elle téléphonait tous les jours et longuement à sa mère

Et par mes fils, j’avais également appris que la seule question que posait ma sœur à sa mère, c’ était : «  est ce que le père est enfin mort ? ».

 

Mme …………., partie en voyage espérait que son père décéderait et que ses obsèques se ferait en son absence quand elle serait encore au Brésil. 

Mais malgré qu’il était condamné à mourir dans quelques jours, mon père a survécu plusieurs mois, jusqu’au printemps 1993.

 

 

10°  Les aveux à peine camouflés des 2 auteurs du crime

 

Quand, Mme …………, ma sœur a appris la mort de son père, elle est venue peu peinée mais très inquiète voir le corps de son père. L’important pour elle, était de  savoir si son père avait parlé avant de mourir ? »

De quoi avait t’elle peur qu’il ait parlé ? pour poser cette question.

En fait, elle voulait certainement savoir si son père s’était aperçu qu’il avait été empoisonné et s’il l’avait dénoncé.

 

Et quant à sa mère, la femme de mon père, elle avait déclaré, que DIEU lui avait donné l'absolution , comprendra qui voudra, disait ‘elle,  j’ai reçu l’absolution de Dieu, et elle avait difficulté à cacher ses joies. .

Ce qui signifiait, j’ai commis un crime, Dieu a fait de façon à ce que je ne serais, ni déclarée coupable, ni punie.

 

 

11° Quelques temps plus tard, pour m’empêcher de dénoncer les crimes commis, je reçois des courriers bizarres du Crédit Agricole.

 

Tout d’abord, un courrier qui m’informe, que je n’ai pas payé une échéance d’une mensualité d’un prêt du Crédit Agricole.

Je regarde sur mes contrats de prêts et sur les échéanciers de remboursement : je constate que je n’avais aucune mensualité de prêt à rembourser, à la date indiquée.

J’en informe le Crédit Agricole, qui reste silencieux.

Le mois suivant, je m’aperçois en consultant mes relevés de compte bancaire, qu’aux dates effectives des échéanciers de mes prêts liés à mon exploitation agricole, le Crédit Agricole ne faisait plus les prélèvements automatiques, comme les mois précédents, pourtant j’avais vérifié, mon compte bancaire était amplement alimenté pour supporter ces prélèvements sans que mon compte devienne déficitaire.

 

Je contactais le Crédit Agricole, on me répondait, on va voir ce qui se passe, et cette situation a continué, malgré mes réclamations, et malgré des lettres en recommandé que j’ai adressé pour demander la régularisation de cette situation, puisque j’avais de l’argent pour payer les échéances de mes emprunts auprès du Crédit Agricole.

 

Le temps passe, et cette situation continue, malgré que je mets l’argent sur mon compte courant pour payer mes échéances de prêts à rembourser.

 

Et puis un jour, alors que je n’émettais plus jamais de chèque sur mon compte bancaire du Crédit Agricole, j’avais un autre compte ouvert sur une autre banque de …………… que je faisais fonctionner, mais un jour, j’avais oublié le chéquier de cette banque, et pour payer une très petite somme, 10 francs je donne un chèque du Crédit Agricole. Je savais que j’avais amplement assez d’argent pour rembourser mes échéances des prêts.

Et bien, je reçois d’abord un relevé où je constate que mes échéances de mes mensualités de prêts qui n’avaient pas été prélevées depuis plusieurs mois, venaient d’être prélevées, et à celles-ci avait été ajouté un prélèvement complémentaire pour un prêt imaginaire, totalement inventé avec des numéros dont je n’ai jamais eu de contrat de prêt et dont la somme d’emprunt mentionnée n’a jamais été versée sur mon compte, ni pour payer un fournisseur.

 

 

Donc, avec ce prêt bancaire inventé, et ce prélèvement indu effectué, le Crédit Agricole ne paie pas ce chèque de 10 francs, et m’informe par lettre recommandée que j’ai fait un chèque sans provision.

Ils ont de suite déclaré ce chèque sans provision à la Banque de France pour que je ne puisse plus émettre de chèques sur les comptes des autres banques.

J’ai payé directement ces 10 francs au bénéficiaire de ce chèque de 10 francs non payé par le crédit agricole et j’ai récupéré ce chèque impayé, comme preuve.

Le Crédit Agricole très surpris que j’avais réussi à payer ce chèque, a ensuite continué à ne plus prélever mes échéances de prêt pour continuer de me mettre en difficulté.

 

 

12° J’ai alors compris que c’était ma sœur ………………… qui est employée à la Caisse Régionale du Crédit Agricole de …….., qui avait organisé ces malversations sur mon compte bancaire 

 

Je me suis même aperçu, ultérieurement que Mme ……, était allé beaucoup plus loin, dans l’utilisation de son poste de travail pour trafiquer mon compte bancaire.

Elle est allé jusqu'à faire de faux documents signés par sa main imitant la signature de mon père.

 

C’est une femme qui est une personne très perturbée,  quand elle était jeune scolaire, elle était jalouse de mes facilités à étudier, ce qui n’était pas son cas.

Ensuite, elle était jalouse que mon père m’ait choisi pour reprendre la ferme de ……………… sans lui demander.

Ensuite, elle était jalouse, que j’ai des enfants, et qu’elle ne pouvait pas réussir à procréer. Elle n’acceptait pas de ne pas pouvoir avoir d’enfants, et elle est allé en adopter.

 

Elle était très perturbée par sa mère, ma mère, Mme …….. Elle l’adorait et elle en était très complice et elle entretenait des relations très secrètes avec sa mère.

C’était une femme, qui était continuellement en déprime.

 

 

13° Des diffamations et calomnies mensongères ont été divulguées à qui voulaient les entendre et surtout les divulguer sur la place publique.

C’étaient :

-         Que je cultivais des pavots ou haschichs interdits sur des terres de la ferme de …………

-         Que j’étais un homme très coureur de femmes.

-         Que je dénonçais des actes criminels pour justifier mes très importantes dettes.

-         Que j’étais très endetté, que je m’étais énormément endetté, et que je ne pourrais jamais rembourser.

-         Que j’avais été très perturbé par le suicide de ma fille …………...

-         Et d’autres que j’ai oublié.

 

La réalité est autre :

-         Pour convaincre que je cultivais ces plantes interdites, elle avait pris des photos de champs de pavots et haschichs au Brésil. Et elle avait envoyé un de ses collègues de travail du Crédit Agricole, dont sa passion était l’ULM, faire des vols en ULM au dessus de ma ferme de …….. pour y prendre des photos aérienne.                                                                                                  Ensuite elle avait fait un montage photographique :                                                     Elle avait ajouter sur une photo aérienne d’un terrain près des bâtiments dont il était facile d’y reconnaître une parcelle de la ferme de ……….. Elle y a posé dessus une photo du champs de pavots qu’elle avait ramené du Brésil.                                                Après, elle a fait distribuer des photocopies de ce montages un peu grossier, pour tenter de me faire arrêter par les gendarmes. Le problème, pour elle, c’est qu’il n’y avait pas de ces plantes interdites dans mes cultures.

-          Coureur de femmes, c’était une pure invention propagée, par Mme ………avec la complicité de mon ex femme, avec qui j’étais en cours de divorce, et qui voulait tenter par des déclarations mensongères de ses sœurs et de son frère, remises au juge des affaires familiales pour obtenir un divorce pour tord de ma part : C’était pour faire mains basses sur mes héritages, pensaient elles.

-         Des dettes inexistantes, imaginaires, mensongères, avec des montants très gros, étaient divulguées partout, elles provenait de Mme ………., qui travaille au Crédit Agricole, donc aux yeux des gens c’était vrais et ils les divulguaient avec le complément de phrase, cette information vient de sources sures, c’est son ex femme et c’est sa sœur qui travaille au Crédit Agricole qui le disent, donc c’est vrai.  La réalité, et la reprise de mes vrais comptes d’exploitation agricole de ces années peuvent prouver que j’étais dans le département, l’exploitant agricole le moins endetté par rapport aux investissements. C’est à dire que j’avais le taux d’autofinancement le plus élevé.

-         Les actes criminels que je dénonçais, même pour les gendarmes et les juges, ma parole ne valait plus rien, je parle seulement pour me justifier des dettes que j’ai faites.

-         Que j’étais très perturbé par la mort de ma fille ………….., c’était aussi un mensonge divulgué par Mme …… ma sœur, qui voulait m’empêcher de dire que ma fille avait été assassinée.

 

Après tous ces évènements cumulés, j’ai compris que c’était probablement ma sœur, Mme ………. qui travaille au Crédit Agricole qui avait organisé également l’assassinat de ma fille ………..

 

 

14° Des vols ont été organisés sur ma ferme de .........

C’était en mai 1996.

J’étais parti trois semaines pour négocier des partenariats pour cultiver des légumes biologiques sur ma ferme de …………, quand je reviens, je découvre de nouveaux vols :

-         D’abord en rentrant, je constate que 2 tracteurs agricoles qui appartenaient à la SCI de ……., ont été volés : ils étaient sous un hangar de la ferme de ………. Il s’agissait d’un tracteur de 155 CV turbo avec 4 roues motrices, cabine climatisée grand confort de marque FIAT type 1550, d’une valeur réel équivalente à 100 000 frs de l’époque et d’un tracteur Deutz type 7206, cabine sécurité d’une valeur équivalente à 40 000 frs de l’époque.

-         Puis, je constate que des vols ont été commis dans plusieurs pièces, des objets de valeur : une coiffeuse complète et ancienne, un gros réveil en marbre et bronze avec 2 pots en bronze de cheminée en marbre, et de nombreux autres objets de valeur.

-         Et j’ai remarqué constaté que les anciennes armoires qu’utilisait ma mère pour cacher ses secrets avaient été visitées et de nombreux articles en avaient disparu, Mais j’ai surtout constaté que ces armoires avaient été fouillées, et que l’auteur de ce vol était à la recherche de quelque chose.

-         Ensuite dans une troisième chambre, je découvre qu’une vitre d’une fenêtre avait été cassée et remplacée. Et que les volets avaient été cassés et changé par des neufs.

-         Bizarre un voleur qui répare ses casses. J’avais aussi remarqué que quand la vitre de la fenêtre avait été cassée, les bris de verres ont volé du coté extérieur. Étonnant, un voleur qui brise une vitre pour entrer dans une pièce pour y dérober, il frappe coté extérieur la vitre et il envoie les bris de verre du coté opposé, c’est à dire du coté intérieur de la fenêtre. Cela m’avait interpellé.

-         Puis un voleur qui répare sa casse, jusqu’à investir dans des volets neufs ou presque, c’est peu courant !

-         Puis c’était au soir tard, il faisait nuit. Le lendemain matin, je retourne voir de plus près à l’extérieur de la fenêtre. Cette fenêtre donnait à l’arrière de la grande maison, coté des jardins et du chemin local une allée rejoignait cette fenêtre, Je remarque quelque chose de très étonnant, le voleur avait coupé l’herbe de ce chemin qui était touffue et très haute, et cela avec une coupe très courte, pour supprimer les passages certainement d’un véhicule qui aurait venu charger les meubles volés.

 

Je vais voir les gendarmes, qui m’apprennent une chose surprenante : Oui ont sait, votre sœur Mme ……… est venu il y a peu de temps pour nous déclarer plainte de ce vol. Elle nous a expliqué qu’elle a découvert qu’un voleur est entré par derrière la maison, en cassant les volets et en cassant une vitre de la fenêtre pour entrer, ils auraient d’après elle fouillé les armoires et auraient volé peu de choses.

Le but de sa visite était d’expliquer aux gendarmes que c’est moi qui aurait volé fracassé ce volet et cette vitre pour entrer et fouiller les armoires.

Elles voulaient demander aux gendarmes de m’arrêter pour un vol commis chez moi, un vol sur ma ferme où je suis exploitant agricole.     

Elle est allé déclaré aux gendarme que j’ai volé des objets de valeur faisant partie de  l’héritage familiale et que je me suis enfuit avec.     

Elle insistait pour demander aux gendarmes de me faire rechercher par toute les polices et de m’arrêter pour ce vol.

Ensuite elle avait expliqué aux gendarmes que elle et son mari sont alors venu retirer de cette maison, de nombreux meubles et objets de valeurs, entre autres la  coiffeuse complète et ancienne, un gros réveil en marbre et bronze avec 2 pots en bronze de cheminée en marbre, et de nombreux autres objets de valeur.

 

Je pense que les gendarmes ne l’ont pas cru.

Sa déclaration était stupide : pourquoi j’aurai cassé des volets et une fenêtre pour entrer, alors que c’est chez moi et que j’avais la clef de la porte d’entrée.

Pourquoi, aurai je entré avec effraction, juste pour fouiller les armoires ? c’est stupide.

 

En fait c’est elle qui a cassé de l’intérieur la vitre de la fenêtre, puis les volets pour camoufler sa visite et son vol. Elle avait certainement récupéré la clef d’entrée qu’avait sa mère. Une mère qu’elle avait, après avoir assassiné son père, fait mettre  sous tutelle et en maison de retraite contre ma volonté, car elle avait peur qu’elle parle de trop et la dénonce.  

Ensuite, vu que c’est elle qui a volé, de peur que les gendarmes viennent chez elle et constate que l’objet du vol était chez elle, elle a déclaré aux gendarmes qu’elle les avait  retiré tous ce qui étaient de valeur pour éviter qu’ils soient volés lors d’un prochain cambriolage par moi.

 

La réalité, c’est qu’elle est venu volé et surtout fouiller les armoires pour chercher des preuves compromettantes de l’assassinat qu’elle a fait commettre à sa mère et surtout pour faire disparaître les restes de poisons, car elle savait que j’avais déposé des plaintes aux doyen des juges du Tribunal le plus proche par recommandé, pour commissions de l’assassinat de ma fille …………. et de l’empoisonnement de son père jusqu’à lui donner la mort.

 

 

15° Mme …….., va signer au greffe du Tribunal civil ..........., une déclaration d’abandon de ses droits aux héritages familiaux.

 

J’ai été informé par l’avocat qui m’assistait dans l’affaire de divorce, Maître …………, de ………, d’un document qu’avait signé ma sœur Mme ……. du Crédit Agricole devant le Tribunal.

Ce document était un acte devant un juge, par lequel Mme …… déclarait qu’elle refusait de prétendre bénéficier des successions de ses parents et grand parents.

C’est à dire qu’elle refusait ses droits à héritage de ses ascendants.

 

Étonnant, comme déclaration devant juge !

En, fait, elle savait que des plaintes avaient été déposées, pour l’assassinat de ma fille, pour l’assassinat de mon père, pour des vols à la Ferme de …………, etc.

Elles savait aussi, que cet héritage important était un mobile incontestable pour les gendarmes et pour les juges, et elle craignait d’être confrontée devant les juges pour s’expliquer.

Alors, pour démontrer qu’elle n’avait aucun mobile qui l’aurait poussé à commettre ces actes criminels. Avec la peur d’être interrogée par les gendarmes qui la tenaillait :  elle est allé en précipitation, faire cette déclaration devant un juge civil. Dans l’objectif de montrer, qu’elle n’avait aucun mobile qui l’aurait poussé à commettre ces crimes et que par conséquence, ce n’était pas elle l’auteur ou le commanditaire de ces crimes.

 

 

16° Toujours en 1996, je découvre que ma boîte aux lettres chez moi à la Ferme de ……… à été fracturée.

La porte, de ma boîte aux lettres avaient été violée :

-         Quelqu’un  avait tenté d’en ouvrir la porte en insérant de force une fausse clé dans le trou de la serrure, mais ça n’ouvrait pas. Alors, cette personne a certainement pris une pince pour forcer sur la clé pour ouvrir la boîte, en tout cas j’avais trouvé un bout de clé cassée qui était resté dans le trou de la serrure.

-         Ensuite cette personne est allé cherché un pied de biche ou autre levier, pour forcer la porte de ma boîte aux lettres et y prélever et ou consulter mes correspondances. J’avais constaté que la languette de la serrure restée en position fermée était tordue et ne retenait plus la porte fermée.

 

Cette boîte aux lettre, étant la propriété de La Poste, je ne pouvais la réparer moi même, et j’avais informé le bureau de La Poste local, que cette boîte avait été fracturée et qu’elle ne fermait plus, et je leur avais demander de la réparer ou de la changer.

Cette boîte aux lettre est restée sans fermeture pendant plusieurs années, je n’avais pas le droit de la réparer et son propriétaire La Poste laissait en l’état cette boîte aux lettres et la factrice y posait mes correspondances alors qu’elle savait que des personnes avaient l’intention d’y dérober et y dérobaient mes courriers.

 

En réalité, mon ex femme qui avait intérêt à consulter mes correspondances, s’était liée d’amitié avec la factrice qui allait souvent prendre un café chez elle et lui avait demandé de ne pas faire réparer ma boîte aux lettres, elle lui a dit que c’est bien ainsi, car il en perdra les clés.

 

J’avais déposé plainte avec constitution en partie civile devant le tribunal le plus proche, mais je n’en ai jamais eu de suite.

 

17° Je continuais à recevoir mes correspondances dans une boîte aux lettres sans porte fermée  et un jour je découvre un courrier du greffe civil du Tribunal de Grande Instance,

C’était une condamnation qui avait eu lieu en jugement du 28 novembre 1996, ce jugement était une décision de liquidation judiciaire personnelle.

De suite, je vais aux greffe du Tribunal pour m’informer. Ici, le greffier me dit : « mais vous ne vous êtes pas présenté à l’audience, le juge a pris une décision pensant que vous ne contestiez pas cette dette »

Je lui répondis : « mais je n’ai jamais rien reçu, aucune relance d’une facture ou dette à payer, ni une seule mise en demeure de payer, et ni convocation de votre tribunal »

 

 

« Pourtant les lettres recommandées que nous vous avons adressé ont été retirées et signées du nom : ............. qui est le mien »

Puis elle a ajouté :

« Et votre femme s’est présenté à l’audience, elle y a déclaré que vous aviez bien reçu les convocations à l’audience et qu’elle est présente à l’audience pour vous représenter.  Elle a déclaré également que vous reconnaissiez devoir payer la dette dont vous aviez été mis en demeure de payer ………………………….  Et votre femme a ajouté que vous étiez ruiné et que vous ne pouviez payer cette dette. Elle a précisé qu’une décision de liquidation judiciaire à votre encontre était la seule  issue possible ».

je lui réponds : « Mais comment peut ‘elle parler en mon nom, puisque il y a une procédure de divorce depuis 1992 entre elle et moi, et qu’une décision par ordonnance, avait été prise en 1993 par le juge des affaires familiales du Tribunal des affaires familiales,  qui disait que nous étions séparé de corps que nous avions chacun notre domicile distinct et que j’étais interdit d’aller chez elle et elle d’aller chez moi. Comment est ce possible qu’un juge du Tribunal de ce même Palais de Justice considère qu’elle puisse me représenter et parler pour moi ? »

Je n’obtiens pas  de réponse à cette question, ensuite elle tente de me préciser que j’ai reçu par lettre recommandée l’ordonnance de ce jugement de liquidation judiciaire.

Elle va en chercher la preuve dans le dossier, qu’elle n’avait pas encore sorti.

Quand elle revient, elle me dit :

«  On m’avait dit que cette ordonnance vous avait été notifiée par recommandé avec accusé de réception, mais je constate que rien n’a été fait ». Puis laissant apparaître une forte inquiétude, elle me demande : « acceptez vous de signer que je vous remette cette ordonnance ce jour ? »  

Je lui réponds OUI, et je repars avec cette ordonnance.

 

En plus des agressions importantes dont j’avais été victime depuis plus de huit années, ce que je venais d’apprendre était le comble, Je demande à Maître ……………………., qui était à l’époque l’avocate qui m’assistait dans la procédure de divorce.

Elle me reçoit, rapidement, j’avais remarqué qu’elle était au courant de tout. Qui lui avait dit ?

Elle tente de me convaincre qu’elle va me donner de bons conseils. Puis elle me dit :

-         Surtout, il ne faut pas faire appel de cette décision de liquidation judiciaire, ça ne servira à rien vous êtes trop endetté ! (elle n’en savait rien du tout)

-         Le mieux pour vous, c’est que vous quittiez le plus rapidement possible votre ferme de ……… ! Et elle insiste sur l’importance pour moi de quitter la ferme de ……….

-         Et ensuite, elle ajoute, dans votre situation, pour vous sortir rapidement de cette impasse dans les meilleurs conditions pour rebondir, il faut que comme votre sœur l’a fait devant le tribunal, il faut que vous renonciez vous aussi, à vos héritages familiaux !

 

Cette dernière phrase, elle me l’a répété plusieurs fois de suite, elle m’a répété c’est la seule solution pour vous. Et puis a ajouté, je vous fait préparer ce document d’abandon de vos héritages immédiatement et vous le signez maintenant, j’irai cet  après midi, au greffe du tribunal pour l’enregistrer.

Ainsi vous serez tranquille.

Je refusais, elle insistait et insistait, elle ne voulait pas que je parte sans avoir signé ce document d’abandon de mes héritages.

J’étais très mal, mais je ne comprenais pas, comment un abandon de mes droits à hériter des successions de ma famille pouvait résoudre la situation que je vivais à l’époque. C’était stupide de croire cela.

 

Pourquoi, cette avocate agissait ainsi, J’en ai eu les réponses ultérieurement, (c’est la femme d’un Monsieur cadre supérieur à la Direction des services de l’Agriculture de la région, qui a collaboré à certains actes criminels dont j’étais victime.

D’ailleurs, maintenant depuis 2008, cette avocate, Maître …………….. est l’avocate de mon ex femme, elle défend ses intérêts contre moi, dans cette même procédure de divorce (alors qu’elle avait été mon avocate dans cette même affaire).

 

 

18° J’ai fait appel de cette ordonnance de Liquidation judiciaire.

 

J’ai déclaré, appel et j’ai pris pour m’assister, une avocate d’une autre région : Maître …………..

Quand, je l’ai contacté la première fois, elle était très motivée pour soutenir mon affaire, et elle m’avait ajouté, je suis très motivée par votre affaire et votre problème avec le Crédit Agricole, car j’ai mon frère qui est agriculteur, et il a les mêmes problèmes que vous avec cette banque.

Mais le temps passant, elle ne me donnait plus de nouvelles et quand je me suis imposé pour obtenir un rendez vous pour lui expliquer les points que je voulais défendre, je me suis aperçu qu’elle n’avait plus aucune franchise, elle ne prenait pas note de mes revendications, et surtout elle avait répété sans cesse, qu’elle n’avait jamais été contactée par quiconque et que personne avait fait pression sur elle pour l’empêcher de défendre mes intérêts.

Je l’avais rencontré en présence avec moi d’une amie qui peut en témoigner.

 

J’ai compris par la suite des évènements, qu’il y avait plusieurs personnes qui l’ont contacté et influencé pour ma défendre mes intérêts ( il avait Maître ……… l’avocate citée au précédent paragraphe. Et un Monsieur demeurant à 40 kms et président d’une association de défense des agriculteurs en difficultés, et d’autres..) 

 

Cette avocate qui devait m’assister devant le second tribunal en Appel, ne m’avait donné aucun conseil et pire encore n’avait remis aucun mémoire pour défendre les intérêts de son client que j’étais.

Voyant que je ne pouvais plus compter sur elle.

C’est moi même qui ait préparé mon Mémoire, que j’avais adressé au greffe du tribunal d’Appel et aux parties adverses, par recommandés avec accusés de réception.

 

En 1998, le jour de l’audience, j’y étais présent avec un ami comme témoin.

Quand mon affaire est arrivée à l’ordre du jour,

Le président de la séance demanda, si l’intéressé Mr …………… était présent dans la salle d’audience.

Je levais le bras, pour signifier ma présence.

Mais à cette instant même, Maître ………. l’avocate qui devait me conseiller et remettre mon mémoire pour défendre mes intérêts, surgit dans la salle d’audience en disant je suis l’avocate qui représente ce Mr ……(moi même présent)…. qui est absent.

Ensuite le président demande, si la partie adverse, est t’elle présente ou représentée à cette audience ?

Personne, ne répondait

Et la Greffière dit j’ai reçu un courrier émanant de la partie adverse et elle lit ce courrier :

Cette partie adverse y déclarait, qu’elle ne souhaite pas répondre aux arguments présentés par moi même demandeur de l’appel, dans son mémoire, qu’elle avait reçu, et qu’elle ne souhaitait pas ouvrir un débat sur les arguments que je présentais dans mon mémoire.

Et elle ajoute, nous avons demandé à nos avocats de ne pas être présents à cette audience.

Nous demandons au tribunal de statuer, sur nos arguments remis dans notre mémoire écrit remis à votre greffe. (ce que je n’avais pas reçu)

 

Ensuite, Maître …….., s’empresse de prendre la parole à ma place, pour m’empêcher de parler et déclara  après m’avoir vu et reconnu dans la salle d’audience, elle avait vite tourné la tête et évité de me saluer pour faire croire au tribunal que j’étais absent à cette audience:

Oui, je suis l’avocate de Mr ……….,

Vous pouvez constater, qu’une fois n’est pas coutume, et que c’est mon client, Mr …………… qui a pris l’initiative de vous remettre son mémoire pour défendre ses intérêts devant votre cour. Puis elle essaie de reprendre quelques uns de mes arguments contenus dans ce mémoire, mais elle se perd dans ses explications et se mêle les pinceaux, par manque de connaissance de l’affaire ou volontairement pour minimiser les effets de mon mémoire. Je ne sais pas, par contre ce que je sais,

C’est que cette avocate qui devait m’assister à cette audience, a quitter très vite cette salle d’audience pour éviter de se retrouver en face de moi et d’être obligée de me saluer.

 

Le Président de l’audience à mis en délibéré à une date ultérieure.

 

Ultérieurement :

Quand j’ai reçu l’arrêt du tribunal d’Appel sur cette audience, j’ai été très stupéfait :

-         Il y était indiqué que j’étais absent à l’audience.

-         Que j’étais uniquement représenté par Maître ……….., qui avait présenté un mémoire oral sous la forme d’une plaidoirie.

-         Que la partie adverse était présente à l’audience et qu’elle avait soutenu son mémoire écrit.

 

En conclusion

L’Arrêt disait que l’appel est débouté de sa demande et que la décision du  premier jugement est maintenu.

 

19° J’ai fait un POURVOI en CASSATION de cet Arrêt en Appel, au tribunal  suprême.

J’avais contacté et demandé à un près du Tribunal Suprême, de me POURVOIR en CASSATION de cet arrêt, ce qu’il avait fait par une déclaration initiale au greffe de la Cour Suprême.

Je n’avais alors, plus de revenus, et j’étais bénéficiaire pour survivre des minima sociaux, donc j’avais droit à l’Aide Juridique.

J’ai déposé une demande d’aide juridique auprès du Bureau concerné de la Cour Suprême.

En 1999, j’ai reçu la décision du bureau d’aide juridique :

Ma demande d’Aide est rejetée pour motif que les arguments à cassation ne sont pas suffisants.

 

L’avocat à la Cour Suprême, m’avait contacté, pour me dire, si je paie ses honoraires, nous avions 1 mois pour déposer légalement mon mémoire pour demander cassation.

 

J’étais très mal, en un mois, je n’ai pu réagir pour payer ses honoraires , et ce pourvoi n’a pas été suivi d’un mémoire.

Je suis convaincu que j’aurai gagné, mais je n’avais plus à cette époque assez de lucidité, la violence des actes criminels dont j’avais été victime m’avait diminué dans mes capacités à faire face à cette nouvelle situation.   

 

 20° En fin 1998 j’ai adressé une requête à la Cour Européenne des Droits de l’Homme aux Conseil de l’Europe.

Dans un délai inférieur à six mois, après réception de l’ordonnance du BAJ de la Cour de Cassation, j’ai adressé une requête en introduction devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

J’ai reçu, du greffe de la CEDH, le numéro par lequel ma requête a été enregistrée.

Il  me fallait désigner un avocat pour défendre mes intérêts devant la CEDH, pour que cette affaire soit transmise devant une première chambre de la CEDH.

Mais tous les avocats me demandaient plus d’argent que j’en avais, et les Bureaux d’Aide Juridiques répondaient à mes demandes d’Aide Juridique que j’étais bien éligible à l’AJ puisque sans revenu autre que le RMI, mais mes demandes étaient rejetées  pour motif que l’Aide Juridique n’est pas attribuée devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

 

Cette requête devant la CEDH, n’a je crois pas été radiée, parce que depuis j’ai joins d’autres requêtes qui sont joignables à celle ci.

   

 

21° 1998, les calomnie diffamatoires et mensongères sur ma personne se multiplient.

 

C’était devenu , invivable pour moi, Tous les gens du coin me regardaient comme une personne peu fréquentable. 

 

Je ne pouvais plus vivre sur ma Ferme de …………, de victime que j’étais, j’en deviens aux yeux des autres, une très mauvaise personne infréquentable.

 

J’appelai au SECOURS, tous mes ex amis s’éloignaient.

J’ai même un ami, qui m’a avoué que s’il continuais de me fréquenter, on lui avait expliqué qu’il sera considéré comme étant une personne à ne plus fréquenter, lui non plus.

J’ai donc décidé en fin novembre 1998 de partir habiter dans la plus grosse ville à 200kms de ma ferme.         

 

  

 

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