La Fondation Européenne des Personnes Handicapées,

propose aux victimes de crimes ou délits,

des moyens et des outils de recherches en investigations

pour apporter aux juges les preuves des actes dont elles ont été victimes.

Être victime d'une agression, d'un crime, d'une injustice, d'une violation des droits de l'homme et de la femme, c'est comme l' handicap physique, c'est perdre une partie de ses capacités d'action et de ses moyens.

. C'est aussi, très souvent entrer dans un système de dépendances qui font perdre à ceux qui en sont victimes certaines fonctions vitales.

. C'est aussi devenir vulnérable et tomber dans l'incompréhension des autres, ce qui vous fait souvent perdre votre emploi ou votre outil de travail, vos collaborateurs, vos proches et votre famille ne vous reconnaissent plus, vous êtes rejetés et vous devenez un exclu du système social et souvent vous perdez une partie de vos revenus et de vos moyens.                                                                                                                                                 En plus de cela, quand vous êtes victimes, déclarées "partie civile" constituée en réparation des préjudices dont vous êtes victimes, vous devez montrer une grande dignité devant les magistrats chargés d'instruire votre affaire en justice,  et vous vous heurtez à de nombreuses incompréhensions sur votre comportement, y compris par votre propre avocat, surtout si vous avez perdu les moyens financiers pour le rémunérer.                                                                                    Les victimes, le "ministère public" c'est à dire le procureur, et les magistrats de l'instruction, se soucient peu des victimes et de leurs difficultés; leurs formations actuelles les a conditionnés et motivés à la cause des auteurs des crimes et toutes leurs interventions se limitent à rechercher et punir les criminels. Mais de la souffrance des victimes, aucune personne n'y pense.

Pire encore, dans de très nombreux cas criminels, le "Ministère Public" ou ses représentants et les magistrats d'instruction, laissent dans le désarroi les victimes qui déposent plaintes. Les victimes doivent elles mêmes apporter les preuves, les indices, les témoignages; c'est à dire que si l'acte commis n'est pas prouvé par la victime qui dépose plainte, la justice abandonne dans le désarroi les victimes plaignantes.

D'ailleurs certaines victimes et cela peut être votre cas, ne déposent pas de plaintes, tant elles se sentent peu écoutées par leurs déclarations d'un acte, pourtant condamné par le code pénal, dont elles ont été victimes.

La Fondation Européenne des Personnes Handicapées, va mettre en œuvre des moyens pour proposer aux victimes de crimes ou délits, des moyens et des outils de recherches et des investigations complémentaires. Afin que les victimes démunies, puissent apporter aux juges, avec des témoignages, des constats, des preuves matérielles, voir des aveux, les preuves des actes dont elles ont été victimes. Actuellement, les victimes sont souvent seules et démunies de moyens pour justifier et prouver aux juges des faits dont elles ont été victimes. Sans oublier que les victimes d'un délit ou d'un crime, en tombent souvent psychologiquement en dépression.  Et dans ce domaine,

la FEPH apportera son soutien aux victimes.

Nous attendons la collaboration et le soutien de nombreux bénévoles pour assumer cette tâche humanitaire au service de ceux et celles qui souffrent parce qu'ils ou elles sont victimes d'un crime ou d'un délit. Merci de votre soutien, Nous comptons sur vous.